La MACSF partenaire du film "Première année"
La MACSF est partenaire du film « Première année », réalisé par Thomas Lilti, qui propose de s’immerger dans le quotidien d’étudiants en 1ère année de médecine. En salle le 12 septembre.
Un partenariat relayé sur les réseaux sociaux
Dans le but de développer la notoriété de la MACSF auprès des professionnels de santé, la MACSF est partenaire du film de Thomas Lilti dont la réputation cinématographique, grâce à ses deux films précédents sur le monde de la santé, n’est plus à faire.
C’est la première fois que la MACSF réalise un partenariat cinématographique de ce type. Ce partenariat permet de renforcer l’image de la MACSF en tant que partenaire privilégié des professionnels de santé, mais aussi de soutenir et consolider le lien déjà existant auprès des étudiants en santé.
A partir du 29 aout 2018, la MACSF fera gagner des places aux plus de 137 000 abonnés et followers des comptes Etudiants en santé sur les réseaux sociaux (Instagram, Twitter et Facebook).
Le film
Depuis longtemps, Thomas Lilti, médecin généraliste et cinéaste, avait l’envie de faire un film sur la faculté de médecine et l’énergie de ses étudiants.
Après Hippocrate (2014) et Médecin de campagne (2016), deux films sur le monde de la santé qui ont rencontré un vif succès, le Docteur Thomas Lilti décrit dans son nouveau film le quotidien d’Antoine, incarné par Vincent Lacoste qui entame sa première année de médecine pour la troisième fois. Benjamin (William Lebghil) arrive directement du lycée, mais celui-ci réalise rapidement que ce ne sera pas de tout repos. Dans un environnement compétitif violent, avec des journées de cours ardues et des nuits dédiées aux révisions plutôt qu’à la fête, les deux étudiants devront s’acharner pour décrocher leur place en deuxième année. Esprit de compétition, révision en bibliothèque, tutorat, fatigue, stress et solitude : tous les versants de cette première année sélective sont abordés.
La critique du Docteur Thierry Houselstein, directeur médical MACSF.
« Même sans référence médicale, on est très vite passionnée par ce presque huit clos. C’est un excellent film, le contexte est bien décrit, les personnages – deux étudiants que tout oppose- sont parfaitement interprétés. On sent clairement que l’histoire repose sur le vécu du réalisateur. Le film est émaillé d’anecdotes qui sonnent juste, notamment la guerre qu’il peut y avoir avec d’autres étudiants pour les places en amphi ou des polycopiés, le besoin de posséder (au cas où) le livre le plus complet ou la version la plus récente même si celui-ci ne sera jamais ouvert au final. J’ai donc, sans surprise, beaucoup aimé ce film, parce que c’est une belle histoire, mais surtout parce qu’il ravive des souvenirs qui avec le recul ne sont que des bons souvenirs même si la réalité fut différente évidemment. »